29/07/2025
Parler d'argent, surtout dans un modèle entrepreneurial, n’est jamais simple. Et pourtant, c’est une question essentielle : “Combien peut-on espérer gagner en tant qu’agent de voyage indépendant ?”
Cet article a pour but de vous apporter des éléments concrets et réalistes, basés sur les retours du terrain et les chiffres observés au sein de notre collectif Myway. Pas de fausse promesse ici, ni de chiffre magique : juste des repères fiables, pour mieux comprendre ce que peut représenter cette activité… quand on la prend au sérieux.
Avant d’aller plus loin, quelques rappels importants sur notre fonctionnement :
👉 Chez Myway, pas de CDI, pas de salaire fixe, pas de hiérarchie. Chaque conseiller développe sa propre entreprise, à son rythme, selon ses ambitions.
👉 Le modèle repose sur des commissions commerciales, calculées sur les ventes réellement réalisées. Pas de vente = pas de revenu.
Temps de lecture : 6 minutes.
Faut-il parler de revenus… ou de salaire ?Pourquoi on ne parle pas ici de “salaire d’agent de voyage”
Revenus bruts, avant impôts et charges : qu’est-ce que cela signifie ?
Quels revenus observe-t-on dans la réalité ? (données anonymisées)Des premiers mois à zéro… et c’est normal
Evolutions des revenus de 5 profils différents
Comment gagner mieux sa vie en tant qu’agent de voyage indépendant ?1. Vendre plus (mais pas forcément travailler plus)
2. Marger plus (sans être plus cher que les autres)
3. Investir dans un nouveau canal
Les autres leviers pour influencer vos revenus en tant qu’agent de voyage indépendantLe temps dédié à l’activité
L’expérience dans le tourisme
Le positionnement et la niche
La posture entrepreneuriale
Le réseau personnel et le 1er cercle
La fidélisation et la recommandation
Peut-on vivre de cette activité ? À quelles conditions ?Les profils qui vivent bien de cette activité ont des points communs
Se projeter : combien faut-il de ventes pour générer un revenu viable ?
Et les pics de saison ?
Et si je veux garder un autre job à côté ?Le “slow build” : construire son activité pas à pas
Les limites à garder en tête
Et côté finances ? Les aides possibles pour se lancer
Quand on démarre une activité dans le tourisme en tant qu’indépendant, une des premières questions que l’on se pose est souvent la suivante : “Combien vais-je gagner ?”
C’est une question légitime, mais qui mérite un peu de nuance. Car si l’on sort du salariat pour créer son propre projet, les règles du jeu changent.
Contrairement à un poste salarié en agence de voyages, avec un contrat, une fiche de paie, des congés payés et un salaire mensuel fixe, ici… vous êtes entrepreneur. Et cela change tout.
Chez Myway — comme dans d’autres modèles similaires — vous exercez en toute indépendance, en votre nom propre. Cela signifie :
🔸 Pas de contrat de travail, mais un contrat d’apporteur d’affaires
🔸 Pas de fiche de paie, mais des factures, et un chiffre d’affaires variable
🔸 Pas de salaire, mais des commissions perçues sur les ventes que vous réalisez
Autrement dit : vous ne touchez que si vous vendez.
C’est le principe même de l’entrepreneuriat : vous développez votre activité à votre rythme, selon vos compétences, votre réseau, votre implication.
Dans les exemples que nous allons partager dans la suite de l’article, nous parlons de revenus bruts, c’est-à-dire :
🔸 Le montant total des commissions perçues
🔸 Avant déduction des charges sociales et fiscales
🔸 Avant dépenses liées à votre activité
C’est une donnée importante, car elle peut prêter à confusion.
À noter : le statut de micro-entreprise reste simple à gérer en début d’activité, mais il faut veiller à bien anticiper ces charges pour ne pas se retrouver “riche sur papier… et sec sur son compte”.
En résumé :
👉 Les chiffres présentés plus loin sont des montants encaissés avant toute déduction.
👉 Ils dépendent intégralement de votre activité commerciale : si vous ne vendez rien, vous ne gagnez rien.
C’est exigeant… mais c’est aussi libre et stimulant. Car dans ce modèle, vous êtes aux commandes : de vos clients, de vos ventes, de votre développement.
L’un des plus grands malentendus lorsqu’on se lance en tant qu’agent de voyage indépendant, c’est de croire que les revenus vont tomber dès le premier mois. En réalité, pour une majorité de profils, les débuts sont lents. Et c’est parfaitement normal.
Contrairement à un emploi salarié où le premier virement tombe en fin de mois, ici, vous êtes dans une logique commerciale. Cela signifie que :
🔸 Vous devez d’abord vous faire connaître,
🔸 Inspirer confiance à votre réseau,
🔸 Obtenir vos premiers rendez-vous,
🔸 Puis… attendre que les premiers clients valident leur voyage.
Et entre le premier contact avec un prospect et la facturation effective, il peut se passer plusieurs semaines — parfois plusieurs mois.
Témoignages anonymes issus du collectif :
“J’ai signé mon premier dossier après 3 mois de prospection, et encore, c’était une cliente que je connaissais déjà de mon ancien boulot.”
“J’ai mis 4 mois avant de voir mon premier virement de commission. J’ai eu plein d’échanges avant ça, mais les décisions prennent du temps côté clients.”
“J’ai beaucoup semé au début : newsletters, réseaux sociaux, bouche-à-oreille… Mon premier vrai contrat est arrivé au bout de 5 mois, et ensuite, tout s’est enclenché.”
Ce qu’il faut comprendre, c’est que cette activité fonctionne un peu comme une locomotive :
🔸 Lente au démarrage, car il faut toute votre énergie pour mettre le train en mouvement,
🔸Mais ensuite, plus fluide, grâce à la recommandation, à la fidélité client et à votre notoriété croissante.
C’est pourquoi les premiers mois doivent être envisagés comme un investissement, non comme un test à court terme.
Dans l'entrepreneuriat, tout ne se mesure pas en “temps passé”, mais en maturité commerciale. Et cela prend du temps.
Vous devez vous constituer un portefeuille client, bâtir votre crédibilité, roder vos process de vente, créer du contenu, et surtout… laisser le temps à votre réseau de s’activer.
Beaucoup d’agents qui vivent bien aujourd’hui de leur activité ont traversé plusieurs mois sans facturation, sans pour autant douter de leur projet. Ils avaient une vision claire, une stratégie, et de la régularité dans leurs actions.
Ce n’est pas une course, c’est un marathon. Et chaque action posée aujourd’hui prépare vos revenus de demain.
Chaque conseiller·ère indépendant·e développe son activité à son rythme. Mais après avoir accompagné de nombreux profils très différents, nous avons pu identifier quelques tendances concrètes.
Voici donc 5 exemples réels, totalement anonymisés, de parcours observés au sein du collectif Myway. Ils illustrent la variété des trajectoires possibles, selon l’expérience initiale, l’engagement personnel, le positionnement choisi et la régularité des actions mises en place.
Les revenus indiqués ci-dessous correspondent aux commissions brutes perçues (hors impôts, URSSAF et éventuels frais professionnels). Ces données ne constituent ni une garantie, ni un objectif imposé — simplement des repères tangibles pour mieux comprendre à quoi peut ressembler la première (et la deuxième) année d’activité.
Une fois l’activité lancée, que les premières ventes tombent et que le modèle vous semble viable, une nouvelle question émerge rapidement :
Comment augmenter ses revenus ?
Car oui, vivre de ce métier est possible… mais bien en vivre, cela demande stratégie, clarté et optimisations.
Voici les 3 leviers principaux à activer pour augmenter vos commissions et booster la rentabilité de votre activité.
Le premier levier est évident : augmenter le volume de ventes. Mais attention : cela ne veut pas dire “travailler jour et nuit”.
Il s’agit plutôt de professionnaliser votre approche commerciale pour générer plus de demandes qualifiées et transformer davantage de prospects en clients.
Voici quelques actions concrètes :
🔸 Mettre en place une stratégie de prospection proactive : emailing, réseaux, recommandations.
🔸 Renforcer votre présence en ligne : site bien référencé, prise de parole régulière, tunnel de conversion clair.
🔸 Créer des offres signature qui vous démarquent et facilitent la décision d’achat.
🔸 Rendre votre process de vente plus fluide (formulaires, outils de réservation, proposition claire…).
C’est souvent en optimisant vos outils et votre communication que vous gagnez en efficacité commerciale, sans augmenter votre charge mentale.
Ce levier est trop souvent sous-estimé, surtout au début : vous pouvez gagner plus… avec les mêmes ventes.
Comment ? En augmentant la valeur moyenne de vos dossiers ou en travaillant avec des partenaires offrant de meilleures commissions.
Quelques pistes :
🔸 Proposer des prestations additionnelles (expériences sur place, assurances, services personnalisés…).
🔸 Travailler avec des tour-opérateurs ou DMC plus rémunérateurs, sans sacrifier la qualité.
🔸 Vous positionner sur des voyages à plus forte valeur ajoutée (sur-mesure, premium, niche…).
🔸 Ne pas hésiter à prendre conscience de votre plus-value, travailler sur un éventuel syndrome de l'imposteur, et augmenter votre marge.
Ce n’est pas le volume qui fait la rentabilité : c’est le ratio entre votre temps investi… et la commission gagnée.
C’est parfois en changeant ou en élargissant votre terrain de jeu que vous débloquez de nouvelles opportunités. Voici quelques exemples de canaux à explorer :
🔸 Publicité en ligne ciblée (Meta Ads, Google Ads, Pinterest, TikTok…)
🔸 Partenariats locaux ou croisés (commerces, CE, wedding planners, hôtels…)
🔸 Présence sur des salons, événements ou marchés spécialisés
🔸 Création de contenu à long terme : blog, SEO, newsletters, vidéos…
Oui, cela demande du temps ou un petit budget au départ. Mais bien choisi, un canal peut devenir un véritable levier de croissance.
Pensez comme une entreprise : testez un canal, mesurez les résultats, et doublez la mise si ça fonctionne.
Les revenus d’un agent de voyage indépendant ne relèvent ni de la magie, ni de la chance. Ils sont le résultat direct d’une posture entrepreneuriale, de votre implication… et de quelques variables-clés. Autrement dit : à chacun sa trajectoire, mais certaines bases restent incontournables pour générer un chiffre d’affaires solide.
Voici les autres facteurs qui peuvent faire la différence.
C’est le point de départ. Un projet lancé à temps partiel ne produira pas les mêmes résultats qu’un engagement à plein temps. Et c’est logique.
Un agent de voyage qui consacre 1 ou 2 jours par semaine à son activité aura généralement :
🔸 un volume de prospection plus limité,
🔸 des réponses client moins réactives,
🔸 un rythme de ventes moins soutenu.
Cela ne veut pas dire que c’est impossible à temps partiel — certains réussissent très bien. Mais cela suppose plus de patience et des objectifs adaptés.
À retenir : vos revenus sont proportionnels au temps (et à l'énergie) que vous consacrez à votre développement commercial.
Ce facteur joue énormément, surtout au démarrage.
🔸 Avoir déjà vendu des voyages, conçu des itinéraires ou géré des clients en amont, c’est un gain de temps énorme.
🔸De la même façon, une expérience dans la relation client, le commerce ou la gestion d’un portefeuille est un vrai plus.
Cela permet non seulement de répondre plus vite et plus juste… mais aussi de rassurer les clients dès le premier échange.
Et en tant qu’indépendant, la crédibilité ne se décrète pas : elle se prouve par la qualité de votre accompagnement.
Parmi deux conseillers ayant les mêmes compétences, celui qui sait dire “j’accompagne les couples à organiser leur voyage de noces sur mesure” aura souvent plus d’impact que celui qui dit “je propose tous types de voyages”.
Pourquoi ?
Parce qu’un positionnement clair :
🔸 attire plus facilement des clients bien ciblés,
🔸 permet d’augmenter le panier moyen,
🔸 vous rend mémorable auprès de votre réseau.
Un bon positionnement n’exclut pas, il oriente. Et dans un univers concurrentiel, savoir “à qui vous vous adressez” est un accélérateur de revenus.
Être indépendant, ce n’est pas juste “travailler de chez soi” : c’est gérer une entreprise, aussi petite soit-elle.
Les agents qui performent sont ceux qui :
🔸 mettent en place un vrai système de prospection (réseaux, bouche-à-oreille, partenariat local…),
🔸 communiquent régulièrement sur leurs offres, leurs expertises, leurs voyages,
🔸 investissent dans des outils ou des formations utiles à leur développement.
En bref, ils ne subissent pas leur activité : ils la pilotent (et ça se voit dans leurs revenus).
Les premières ventes viennent souvent du cercle proche : famille, amis, collègues, anciens clients… à condition d’oser en parler.
Un agent qui se rend visible, qui partage son offre de manière professionnelle (et pas intrusive), qui construit une image sérieuse, crée les conditions pour que son réseau devienne prescripteur.
Et ce réseau-là, bien cultivé, peut représenter 10 à 30 % du chiffre d’affaires les premiers mois.
Les revenus ne se construisent pas uniquement sur des nouveaux clients. Ils se consolident aussi grâce à ceux qui reviennent… et qui vous recommandent.
Un client bien accompagné, bien relancé et bien suivi, peut :
🔸 repartir avec vous l’année suivante,
🔸 réserver pour sa famille ou son entreprise,
🔸 vous recommander à ses amis, collègues, etc.
En clair : vos anciens clients sont vos meilleurs commerciaux.
C’est pourquoi il est essentiel de soigner l’après-vente, d’offrir un bon suivi post-voyage, et de cultiver la relation dans la durée.
C’est la grande question que beaucoup se posent avant de se lancer :
Peut-on vraiment vivre du métier de conseiller voyages indépendant ?
La réponse est claire : oui, c’est possible.
Mais ce n’est ni immédiat, ni automatique, et encore moins garanti. Dans un modèle indépendant, vous ne touchez pas un salaire pour être là, vous percevez des commissions sur les ventes que vous réalisez. C’est donc l’activité commerciale réelle (et non le nombre d’heures passées devant l’ordinateur) qui détermine vos revenus.
Pas comme un loisir qu’on fait “quand on a le temps”, mais comme une entreprise à part entière.
Créer une structure juridique est simple (surtout en micro-entreprise — voir notre guide sur les statuts juridiques), mais créer une marque, un site, une ligne éditoriale, un persona client, une stratégie de communication… c’est une autre paire de manches.
Ceux qui en vivent ont :
🔸 compris la différence entre “être passionné de voyage” et “savoir vendre du voyage” ;
🔸 posé des bases solides : une offre claire, un message bien défini, des outils pro dès le départ.
Le bouche-à-oreille est puissant… mais ne suffit pas toujours.
Les conseillers qui développent leur chiffre d’affaires savent :
🔸 se rendre visibles sur les bons canaux (réseaux sociaux, SEO local, présence terrain…) ;
🔸 rassurer et inspirer confiance (preuves sociales, contenu de valeur, communication régulière) ;
🔸créer une différence perçue (positionnement de niche, ton éditorial, style graphique, expertise unique…).
Ici, le marketing ne remplace pas le métier… mais sans marketing, difficile d’attirer les bons clients.
Personne ne démarre avec 10 000 € de commissions le premier mois.
Les revenus montent souvent par paliers, car :
🔸 il faut d’abord être visible,
🔸 puis inspirer confiance,
🔸 puis convertir les premiers clients,
🔸 puis entretenir la récurrence et les recommandations.
Ceux qui tiennent sur la durée sont ceux qui acceptent cette montée en puissance, qui ne lâchent pas à la première période creuse, et qui s’organisent dès le début pour avoir une vision à 6–12 mois (pas à 6 semaines).
Un exemple vaut mieux qu’un long discours. Voici un exemple à titre indicatif, pour se projeter en tant que conseiller voyages indépendant.
Le tourisme n’est pas linéaire. Certains mois (comme janvier, avril, septembre) peuvent exploser les demandes, quand d’autres sont plus calmes.
C’est pourquoi il est stratégique de :
🔸 lisser sa communication sur l’année,
🔸 prévoir une trésorerie de sécurité,
🔸 travailler sur des produits à vendre en basse saison (par exemple : cartes cadeaux, séjours bien-être, offres à moyen terme…).
En résumé :
Oui, on peut vivre de ce métier.
Mais pas en attendant que les clients arrivent, ni en croyant que la passion du voyage suffira. Il faut une vraie posture entrepreneuriale, une stratégie, et la patience de bâtir une activité stable et rentable.
C’est une question que beaucoup se posent au moment de se lancer :
Peut-on démarrer une activité de conseiller voyages indépendant en parallèle d’un autre emploi ?
La réponse est oui. Mais comme souvent, tout dépend de vos objectifs, de votre organisation… et de votre lucidité sur ce que cela implique au quotidien.
Si vous ne souhaitez pas (ou ne pouvez pas) sauter dans le grand bain tout de suite, vous pouvez choisir un démarrage progressif, en parallèle d’une autre activité professionnelle ou d’un statut transitoire (chômage, congé création, etc.). C’est ce qu’on appelle parfois un slow build.
Cela peut vous permettre de :
🔸 tester votre positionnement et votre communication,
🔸 commencer à bâtir un portefeuille client,
🔸 apprivoiser les outils du métier,
🔸 ajuster votre offre et votre organisation au fil du temps.
Cette phase est précieuse car elle vous donne le temps d’apprendre… sans la pression immédiate de “faire rentrer du chiffre” dès le premier mois.
Mais attention : combiner plusieurs activités n’est pas toujours de tout repos.
Il est important d’avoir conscience de certains freins ou risques :
🔸 Le temps disponible : vous ne pourrez pas répondre aussi rapidement qu’un pro à plein temps, surtout en haute saison.
🔸 La charge mentale : gérer des devis, des appels, des urgences clients en soirée ou le week-end peut vite devenir épuisant.
🔸La perception côté client : si vous semblez peu disponible ou réactif·ve, cela peut nuire à la confiance qu’on vous accorde.
Si vous choisissez cette voie, soyez clair·e dans votre communication : mieux vaut assumer une disponibilité partielle que de faire semblant d’être à 100 %.
Le démarrage progressif est aussi souvent lié à une transition financière.
Voici quelques pistes utiles à connaître :
🔸L’ARE : si vous êtes au chômage, vous pouvez percevoir vos indemnités tout en lançant votre activité.
🔸La rupture conventionnelle : permet de sécuriser un filet de sécurité tout en préparant votre projet.
🔸L’ACRE : une exonération partielle de charges sociales la première année pour les créateurs d’entreprise.
🔸 Les aides locales : certaines régions proposent des subventions ou de l’accompagnement pour les entrepreneurs du tourisme.
Avant de vous lancer, il est recommandé de faire un mini business plan pour clarifier vos besoins et vos projections.
Combien avez-vous besoin de générer par mois pour atteindre l’équilibre ?
Quel est votre panier moyen par vente ?
Combien de dossiers faudra-t-il signer pour atteindre vos objectifs ?
Il n’existe pas une seule manière de réussir dans le métier de conseiller voyages indépendant. Certains démarrent fort dès les premiers mois, d'autres construisent leur activité progressivement, en parallèle d’un autre emploi. Mais tous ceux qui parviennent à en vivre confortablement partagent une chose : une vraie posture d’entrepreneur·e.
Les revenus ne tombent pas « naturellement ». Ils sont le fruit :
- d’une stratégie commerciale claire,
- d’un positionnement assumé,
- d’un travail régulier sur la visibilité, la relation client et la valeur ajoutée.
Ce métier vous offre une liberté réelle : dans vos horaires, dans votre manière de vendre, dans vos choix de partenaires. Mais cette liberté va de pair avec une responsabilité forte : celle de faire avancer votre propre entreprise.
En partageant des exemples concrets et des fourchettes réalistes, notre objectif ici n’est pas de faire rêver, mais d’aider à mieux se projeter. Et si vous deviez retenir une seule chose : les revenus sont à l’image de l’énergie que vous mettez dans votre projet.
Vous hésitez encore à vous lancer ? Peut-être qu’il est temps de faire vos propres calculs, vos propres hypothèses… et surtout, d’oser poser les premières briques de votre activité.
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